La table de Ping-pong fait partie des objets découverts dans le Cygne.
Faits[]
7 décembre 2004[]
Après l'explosion de la station, les survivants retrouvent les deux panneaux en bois composant la table de Ping-pong du Cygne. Ils consolident la table et l'installent sur la plage. Sawyer lance un défi aux survivants ayant profité de son absence pour se partager « ses » affaires. S'il gagne, il pourra reprendre tout ce qui lui « appartenait ». S'il perd, Sun lui propose de ne plus donner de surnoms pendant une semaine.
Pour le jeu, Hurley est désigné par les autres survivants pour relever le défi de Sawyer. Il lui demande s'il souhaite jouer avec les règles « mercy » (si le score est de 11-0, le joueur en tête gagne), Sawyer accepte et lui offre le premier service. Hurley gagne le premier point avec une grande facilité, sous les acclamations des autres survivants.
Plus tard, Hurley retrouve Sawyer nettoyant ses lunettes et boudant. Il le console mais celui-ci clame qu'il a été battu malgré ses trois points. Hurley explique qu'il a de très nombreuses fois pratiqué ce sport par le passé, chez lui et dans un autre endroit (il s'arrête de parler avant de préciser qu'il était dans un hôpital psychiatrique). Il rend ensuite à Sawyer ses magazines pornographiques. Alors que Sawyer recommence à donner un surnom à Hurley, celui-ci lui précise qu'il devra l'appeler Hurley ou Hugo dorénavant. (Tapez 77)
11 décembre 2004[]
Alors que Hurley et Sawyer jouaient au Ping-pong, Nikki arriva suffocante avant de s'écrouler en disant : « par...l...sé... ». Sawyer demanda à Hurley de se dépêcher d'aller chercher de l'aide mais Hurley, après avoir regardé le visage fixe de Nikki, conclut que celle-ci est morte. Sawyer demande alors qui est Nikki.(Jusque dans la tombe)
15 décembre 2004[]
Sawyer affronte Jack et mène à 10 points contre 8. Il plaisante sur le fait que l'île éclatera s'ils ne jouent pas toutes les 108 minutes. Sawyer est très content de battre Jack à la première partie et remarque que c'est étrange d'être tous les trois de retour au camp après leur détention chez les Autres. (L'Effet papillon)