Gault était le capitaine australien du Kahana. Il a été tué par Keamy alors qu'il tentait de l'empêcher de retourner sur l'île.
A bord du cargo[]
Fin septembre 2004[]
Avant de se présenter à Sayid et Desmond, le capitaine ordonne à Omar et Keamy de lui ramener Frank Lapidus afin de lui parler. Lorsque Keamy et Omar arrivent à l'infirmerie trouver Frank, Sayid demande aussi à parler au capitaine mais les deux hommes déclinent sa demande. (Perdu dans le temps)
Après le suicide de Regina, le capitaine ordonne au membres de l'équipage de revenir à leur poste. Il explique à Sayid et Desmond que quelqu'un détruit les machines du cargo et indique que l'équipage est agité depuis que le cargo est ancré près de l'île. Il explique ensuite que le cargo est contrôlé par Charles Widmore puis leur montre la fausse boîte noire du vol 815, dont la fausse épave a été placé dans une fosse sous-marine par Charles Widmore.
Ray indique plus tard à Sayid et Desmond que le capitaine dit les choses telles qu'elles le sont mais qu'il ne vaut mieux pas se heurter à lui. (Le Choix du pardon)
Lorsque le capitaine découvre que des membres de l'équipage tente de quitter le navire en pleine nuit à bord d'un Zodiac, il les frappe violemment pour dissuader les autres de faire de même. Puis, il demande à Michael, qui se fait appeler Kevin Johnson, de nettoyer le pont. Le lendemain, Sayid et Desmond traînent Michael jusqu'au bureau du capitaine à qui Sayid révèle que Michael est un traître et un espion travaillant pour Ben. En apprenant ceci, le capitaine garde son calme. (Seconde chance)
Par la suite, le capitaine fait enfermer Michael dans une cellule. Lorsque l'hélicoptère avec à bord les mercenaires revient à bord du navire, Keamy soupçonne le capitaine de l'avoir dénoncé à Ben car celui-ci savait tout de sa vie. Mais Gault l'emmène alors face au vrai responsable : Michael, que Keamy veut abattre. Gault tente de l'en empêcher en faisant remarquer qu'il est le seul à pouvoir réparer les moteurs mais Keamy appuie sur la gâchette. Néanmoins, l'arme refuse de tirer et Michael est donc épargné.
Le lendemain matin, Keamy demande une clef à Gault mais celui-ci refuse. Il la lui prend donc de force et peut ainsi ouvrir le coffre verrouiller dans lequel est rangé le « protocole de secours ». Lorsque Keamy explique que les mercenaires vont brûler l'île, Gault s'y oppose mais Keamy lui confie simplement une arme en lui demandant de la réparer. Puis, il lui demande d'aller chercher Omar. Le capitaine se rend donc sur le pont, demande à Omar de rejoindre Keamy à l'infirmerie puis approche Desmond et Sayid pour leur demander de se cacher dans le garde-manger avant que Keamy ne revienne sur le pont. Cependant, Sayid demande un Zodiac pour rapatrier les survivants de la plage jusqu'au cargo. Gault accepte et lui montre où se trouve le Zodiac.
Le soir, Gault menace Keamy de l'arme qu'il a réparé après que ce dernier a tué Ray pour convaincre Frank de conduire les mercenaires jusqu'à l'île. Keamy lui conseille alors de ne pas tirer en lui montrant un boîtier accroché à son bras. Tandis que le capitaine interroge l'équipage sur la fonction du boîtier, Keamy sort son arme et tire sur Gault, qui s'effondre et meurt. (Le Messager)
Anecdotes[]
- Le « capitaine Gault » est un capitaine fictif créé par l'auteur anglais Guillaume Hope Hodgson. Gault a un caractère moralement équivoque et mystérieux. Une collection de ses périples peut être trouvée dans le livre Capitaine Gault, étant le journal intime du capitaine, publié en 1917.
- Dans le roman d'Ayn Rand, John Galt est un ingénieur et entrepreneur qui organise une « grève de la main-d'œuvre » des capitaines du monde. Galt les invite tous à un endroit qui est protégé par un « écran de rayon » pour que le monde extérieur ne puisse les trouver.
- Le casting de Le Choix du pardon demandait : « la cinquantaine, homme caucasien, visage en mauvais état, cheveux poivre et sel, homme qui commande avec autorité, mais quelqu'un que vous ne voulez pas croiser. Il a un travail à faire et rien ne l'en empêchera – même la mort de ses employés... »